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Un beau récit qui nous conte un étonnant destin, entre l?Algérie coloniale et l?émigration vers la France.
Un beau récit qui nous conte un étonnant destin, entre l?Algérie coloniale et l?émigration vers la France.
Une nouvelle édition actualisée d’un abécédaire indispensable, qui répond plus que jamais à une demande forte.
Un outil intergénérationnel, véritable remue-méninges, à mettre d’urgence entre toutes les mains.
La réédition, en partenariat avec les librairies Sorcières, du remarquable livre-disque Tanbou sur le tambour Gwoka, aujourd'hui emblématique de l'identité guadeloupéenne, et l’esclavage.
Le nouveau « Souris noire » de Romain Slocombe, où l’on retrouve des thématiques chères à l'auteur (l'histoire, la famille, le secret), dans une délicieuse ambiance de film d’épouvante.
Dans ce « Tempo », Sandrine Kao, qui est elle-même taïwanaise, explore avec beaucoup de finesse le racisme ordinaire dont sont souvent victimes les Asiatiques.
Dans ce « Tempo », Sandrine Kao, qui est elle-même taïwanaise, explore avec beaucoup de finesse le racisme ordinaire dont sont souvent victimes les Asiatiques.
Une petite merveille d’humour et d’intelligence pour inviter à la tolérance et faire en sorte que toutes les religions coexistent dans l’harmonie.
La suite de "Momo, petit prince des Bleuets" : des personnages extrêmement attachants, une famille très soudée, où femmes et enfants résistent tous ensemble à l'intégrisme du grand frère. Un auteur bien connu en littérature de jeunesse, qui sait transmettre comme personne son amour des livres et sa passion des mots.
La suite de "Momo, petit prince des Bleuets" : des personnages extrêmement attachants, une famille très soudée, où femmes et enfants résistent tous ensemble à l'intégrisme du grand frère. Un auteur bien connu en littérature de jeunesse, qui sait transmettre comme personne son amour des livres et sa passion des mots.
Un récit inoubliable qui nous conte un étonnant destin, entre l’Algérie coloniale et l’émigration vers la France.
Ce témoignage poignant sans jamais être traumatisant permet à de jeunes lecteurs de comprendre, d’un point de vue humain, ce qu’a pu représenter la déportation. Irène Hajos évoque en effet non seulement son long séjour à Auschwitz, mais également toute la période qui a suivi et qui est marquée par une très lente « reconstruction » de sa personnalité.